Bonjour tout le monde,
Aujourd’hui, ayant terminé l’écriture de ma trilogie, je me suis dit que c’était peut-être le moment de partager sur mon espace et mes habitudes de travail.
L’espace, vous l’avez sur la photo. Voilà mon petit coin privé pour écrire, bien sûr, et aussi m’adonner à toutes les affreuses activités du geek lambda, à savoir surfer sur internet, enchaîner les vidéos youtube, télécharger de la musique, regarder prime vidéo (je suis fâchée avec Netflix) et mille autres activités pendables du même acabit. Je sais, je sais, ce n’est pas bien. Mais chacun a ses petits défauts.
Je l’aime bien, mon petit coin /espace de travail. Je m’y sens bien, c’est sans doute l’endroit le plus personnel de l’appartement. Vous dites ? Que c’est un vrai foutoir ? Oui je sais. Et alors ? J’ai horreur des espaces bien rangés, bien nets, quand tout est tiré au cordeau… beurk ! C’est tellement artificiel, ça manque tellement de vie, je ne peux pas me sentir bien ni encore moins à ma place dans un décor trop bien rangé. Ça me met mal à l’aise.
Et tant que (au choix) : les chattes ne se crêpent pas le chignon, la chienne ne vient pas réclamer à manger, la gamine du voisin ne hurle pas comme une écorchée (elle se calme, quand même, avec le temps), j’y suis bien tranquille. Comme dans une bulle.
De tempérament nerveux, j’aime par-dessus tout le calme. Et pour moi, le calme ça veut dire le silence. Apparemment, beaucoup de gens écrivent en musique. Ou même sans écrire, ont besoin d’un fond sonore. En mu… quoi ? Ah non ! Moi je ne peux pas ! Si je mets de la musique c’est pour l’écouter, sinon ça m’énerve . Et si j’écoute alors je ne peux pas me concentrer sur autre chose. Du coup, j’écoute de la musique quand je fais un truc enquiquinant qui ne mobilise que mes mains. Genre la vaisselle ou le repassage.
Le moment idéal pour écrire, c’est le matin. En ce moment je suis en congé et là c’est top, je peux travailler tous les matins après avoir déjeuné et sorti la chienne. Si j’ai du bol, j’arrive à m’y mettre vers 9H00 (rarement) ou 9H30. Quand je bosse, je n’ai que le dimanche et il est bien rare que je puisse me poser avant 10H00. Qu’est-ce que je suis bien, quand je m’installe comme ça le matin en me disant que j’ai deux ou trois heures devant moi, tranquille, à pouvoir écrire ! L’après-midi ? Euh… pas trop, en fait. Dès 14H00, je tombe en léthargie jusqu’en début de soirée. Oui, c’est très chiant quand on bosse, il faut toujours que je m’organise pour que les trucs urgents ou importants soient faits le matin. Je ne peux vraiment rien faire contre ça, l’après-midi, mon cerveau se met en mode « off », point barre. Quand je suis en congé, c’est le moment de faire une petite sieste. Ah ! La sieste !
Généralement j’ai un nouveau pic d’activité en fin d’après-midi, début de soirée. Je ne sais pas pourquoi, ça a toujours été comme ça. Si nous vivions dans un monde idéal, sans horaires à respecter, je vivrais le matin et une partie de la nuit. Jusque minuit une heure du mat’, sans souci, puis un petit somme jusque 8 ou 9 heures, activité jusque 13 ou 14 heures, et je roupillerais l’après-midi. Hélas, c’est impossible.
Ah et pour en revenir à mon espace de travail, ben oui, je reste accro au poste fixe. J’ai bien un ordi portable en cas de panne, mais je n’aime pas ça. Trop petit, trop bas, j’aime pas le clavier, j’aime rien en fait. Et qu’on ne me parle pas de tablette ! Encore moins de smartphone, vous serez gentils. Je n’aime pas les smartphones. J’en ai un pour… téléphoner, mais c’est tout et ça ne veut pas dire que je l’aime. Ce sale truc ne me sort pas des mains. Ça fait bien marrer mes collègues, d’ailleurs. En fait, ils prennent leur revanche parce que chez eux, ce sont leurs gosses qui se moquent d’eux en disant qu’ils sont nuls et ne savent pas s’en servir. Du coup, ça leur fait plaisir de voir qu’il y a pire qu’eux. Pfff….
Heureusement, pas de smartphone dans ma « bulle ». Juste le PC. Et c’est bien suffisant.
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