Le titre parle de lui-même, je crois. Voici une petite liste de mes 20 citations favorites en littérature.
Elles sont issues de romans, de pièces de théâtre, de poésies…. Ce sont des phrases qui me sont restées, pour toutes sortes de raison : parce qu’elles sont belles, parce qu’elles m’ont touchées, parce qu’elles représentent quelque chose en quoi je crois ou tout simplement parce que le jour où je les aies lues j’étais dans les dispositions adéquates et que je me suis trouvée en phase avec les mots…
en tous les cas, elles sont restées.
Les voici :
« Par-dessus deux générations et d’étranges vicissitudes, le sang de Virginie Trégan, dame de Bagatelle, allait enfin s’unir candidement à celui de Clarence Dandrige, le Cavalier » – Fausse-Rivière (tome 2 de la saga « Louisiane ») - Maurice Denuzière
« N’aie pas pitié des morts, Harry. Aie plutôt pitié des vivants et surtout de ceux qui vivent sans amour » - Harry Potter et les reliques de la mort - J.K. Rowling
« On n’aime pas à la foi les bêtes et les hommes. Je deviens de plus en plus suspecte à mes semblables. Mais s’ils étaient mes semblables, je ne leur serais pas suspecte… » - COLETTE
« Derrière les apparences, il y a un cœur qui bat » - Mireille Calmel
« Mais Ben-Hur, le rameur de galère, qui avait lutté contre tant de tempêtes avec son aviron, avait acquis dans son dur métier un poignet de fer, et un équilibre dont les secousses furieuses de la mer n’avaient pas eu raison » – Ben-Hur - L. Wallace
« Les chiens ne sont pas notre vie tout entière, mais font que notre vie EST entière » - George Bird Ewans
« Les lumières qui sont en nous sont transformées en ténèbres, et les ténèbres dans lesquelles nous vivons sont terribles » - Léon Tolstoï
« Il faut, en vérité, un homme bien méchant pour que nulle femme ne le pleure » - Le chien des Baskerville – Conan Doyle
« Ce qui compte ce n’est pas de mourir. C’est ce qu’on fait au moment de mourir » - L’élégance du hérisson – Muriel Barbery
« Plutôt mourir debout que vivre à genoux » - Albert Camus
« Fourbissez votre ferraille,
Aiguisez vos grands couteaux » - Fatras – Jean Molinet
« Les fardeaux sont faits pour les épaules qui peuvent les porter » - Autant en emporte le vent – Margaret Mitchell
« Quelle est cette dame qui enrichit la main de ce cavalier, là-bas ? (../..) Oh ! Elle apprend aux flambeaux à illuminer ! » - Roméo et Juliette – Shakespeare
« Mon petit chien : un battement de cœur à mes pieds » - Edith Wharton
« Elle avait des ailes à hauteur de ciel et le ciel l’a reprise » - Le lion des Pyrénées – Myriam et Gaston de Béarn
« Je n’ai pas de gants ?… La belle affaire ! Il m’en restait un seul... d’une très vieille paire ! Lequel m’était d’ailleurs encore fort importun : je l’ai laissé dans la figure de quelqu’un – Cyrano de Bergerac – Edmond Rostand
« La magie se brisa ; au prince des Mille et Une Nuits succédait un professionnel impitoyable – Barrage sur le Nil – Christian Jacq
« Jean Valjean avait cela de particulier qu’on pouvait dire qu’il portait deux besaces ; dans l’une il avait les pensées d’un saint, dans l’autre les redoutables talents d’un forçat. Il fouillait dans l’une ou l’autre, selon l’occasion » - Les misérables – Victor Hugo
« C’est ici que je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde… Un dernier regard, mes yeux ! Bras, une dernière étreinte ! Et vous lèvres, vous portes du souffle, scellez par un baiser légitime un pacte indéfini avec le sépulcre ! - Roméo et Juliette - Shakespeare
« Je donnerais tous les continents du monde pour un bout d’océan » - Jules Verne
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